FERIELLE

"L'Eau Qui Dort"

FERIELLE a sorti son EP "L'eau qui dort" il y a quelques mois, 6 titres éclectique et électrique. 

Autrice, compositrice et interprète, elle nous livre son journal intime qui tient tout autant de celui de Bridget JONES que de la pensée du poète Rainer Maria RILKE.

Le voyage commence avec "Riviera", une chanson aigre douce (Moi j'ai cru en quelqu'un qui n'existe pas, encore une fois, Non mais tu te crois où ?) suivie par "Jamais" avec quelques riffs de guitares qui grincent gentiment (Je ferme les yeux mais je ne vois plus que toi).

"Jeter un sort" démarre, je découvre une structure punk-rock, doux couplets sur refrains énervés, entre mélancolie et machiavélisme (Encore une fois me voilà en terrasse, à pleurer toutes les larmes de mon corps mais moi je voudrai te jeter un sort).

Dans le même registre s'enchaîne "Face à Face", j'ai envie de danser ... C 'est électrique, j'adore ! (J'ai peur du Face à Face, peur que tout s'efface ... Je ne te regretterai pas, même pas une seule fois, regarde moi).

L'avant-dernier titre "Aimant" est une rivière de piano qui devient fleuve, FERIELLE observe son reflet, casse sa voix, accepte sa fragilité (Si c'est moi le problème, c'est que j'ai pas de problème, je sais que le monde est beau).

Le voyage se termine avec "Dis-moi Où on va", une pop colorée que l'on peut entendre dans la série Emily In Paris.

J'ai apprécié l'écoute de cet EP aux diverses influences, n'hésitez pas à vous rendre sur sa chaine YouTube.

Merci à Xavier CHEZLEPRETRE de l'Agence ATTITUDE pour ce partage musical.

Christel